Selon les conseils d’un spéciale de la viande chevaline le chef Thierry Sourbier, le Yoyo Vincent a la peau trop dur, il est même classé dans la carne immangeable.
Pour Patrick Sanckez pas de soucis, voila notre viande mis en papillote est prés a tremper quelques minutes dans un bouillon de triathlètes affamés.
Ensuite égouttez quelques secondes, juste le temps d’une transition, faites le rouler à 45 km/h pour lui faire monter l’acide lactique, par la suite une petite marche forcée à 25 km/h pied nu à coté du vélo lui fera remonter les puls.
La touche finale sera une balade à 20 km/h pour que le Yoyo fasse monter la buée dans les lunettes.
Et voila un beau Yoyo rôti vous attend à l’arrivée.